
L’un de ces palliatifs, le «DI-ANTALVIC», largement utilisé par les Tunisiens contre tout genre de douleurs ou maux conséquents d’un rhume ou d’un mal de dents, aurait des retombées assez graves sur le cœur particulièrement dont des échos sur son retrait en Europe et chez nous se sont déjà fait entendre depuis l’année dernière. Selon M. Kamel Idir, directeur général de ladite direction, les analyses faites sur ce médicament ont prouvé sa dangerosité, analyses qui se poursuivent entre autre autres en France et aux Etats-Unis, mais qui ont été entamés depuis le mois de septembre dernier dans les laboratoires tunisiens et donné des résultats positifs, nécessitant son retrait immédiat du marché et des pharmacies.
L’autre médicament retiré du marché est l’«ACOMPLIA», utilisé pour le traitement de l’obésité et qui aurait aussi des effets secondaires indésirables, tout comme l’«AVENDIA» pour le traitement du diabète qui a provoqué le décès de six malades au Canada suites à des complications cardiovasculaires, et «MEDIATOR» également prescrit pour le diabète.
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